Pa-mie sex-agénaire

La grosse bite du poilu se baignait dans ma salive en attendant de prendre sa place là où elle mérite d’être. Ses pulsations entre mes lèvres et ma langue m’indiquaient qu’elle était prête à l’assault final. Même si j’aimais cette sensation de chose vivante dans ma bouche aulieu de mâcher du silicone sans goût, je ne voulais pas qu’elle explose là-bas. Certes je voulais être inondé, mais pas là. Je l’ai attrapé fermement et l’emmena vers le côté du lit. En bonne chienne je me suis plaçais en doggy devant mon gorille. Il m’a d’abord introduit un doigt, puis vinrent le deuxième et troisième. Ensuite il a placé son gland dans ma caverne, m’attrapa avec ses mains de laboureur par la taille et a tiré brusquement vers lui. Le poteau était totalement dans moi; la scène était frénétique: Gémissements et grognes s’amplifiaient avec la cadence, mes grosses fesses claquaient contre son estomac et ses bourses, la Mini-zizi baisait ma bouche debout sur le lit, une main jouait avec ma quéquette de garçonnet et enfin une bouche et une main s’occupaient de mes deux clitoris mammaires…
Je me suis redressée sur les genoux et me suis assise sur le python. La grosse tige mécanique continuait son mouvement de piston dans ma chatte. Le miroir reflétait une grosse pa-mie en sueur qui bondissait sur un dildo qui disparaissait entre ses fesses à chaque atterrissage. Le petit dildo continuait à châtouiller ma langue et mon palais. Mes mains s’occupaient de mon corps; je me branlais et pinçait mes tétons. Tout me menait vers le summum…
Mon gorille était en souffle. L’attrapant par la matraque je l’ai tiré sur le lit. Maintenant j’étais assise en cavalière sur la bite de mon laboureur; ses poils de torse chatouillaient l’intérieur de mes cuisses, mes bourses et ma chatte embrasée. Il commença à bouger lentement les hanches. J’étais totalement farcie et j’avais l’impression d’avoir absorbé la grosse bite avec les bourses. Je bondissais follement sur l’épaisse tige dont les pouls me signalaient la bonne nouvelle.